Bourse de Londres : lancement de la 2e édition du rapport « Des Sociétés qui inspirent l’Afrique »

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L’ambassade britannique à Tunis a annoncé que la Bourse de Londres (London Stock Exchange/ LSEG) a lancé la deuxième édition de son rapport « Des Sociétés qui inspirent l’Afrique » (Companies to Inspire Africa).

Cette deuxième édition mettra en valeur et donnera de la visibilité aux entreprises privées basées en Afrique dont la croissance est dynamique, dans le but de leur permettre d’attirer des investissements dans leur structure financière, y compris de la Cité de Londres.

Les nominations sont ouvertes jusqu’au 9 avril 2018. Les nominations peuvent être faites par des organisations gouvernementales, des associations professionnelles, des institutions de développement, des investisseurs, des conseillers ou des avocats.

Les entités souhaitant soumettre des candidatures doivent se rendre sur le site www.lseg.com/inspireafrica pour s’inscrire en ligne et suivre les instructions relatives aux nominations sur le portail. Les entreprises désignées doivent avoir un siège social en Afrique, avoir un capital de propriété privée et non cotée en bourse, avoir un minimum de 3 ans d’activité et des revenus inférieurs à 1 milliard USD par an (ceci exclut les très grandes entreprises non cotées).

Les comptes financiers des entreprises doivent être audités par l’un des quatre grands cabinets comptables, une filiale locale des ‘quatre grands’ ou un cabinet d’audit accrédité (ce critère s’appliquera à la plupart des nominations avec dans certaines circonstances une possibilité de flexibilité).

Les entreprises désignées seront ensuite contactées pour fournir les informations sur leur site Web d’entreprise, chiffre d’affaires annuel relatif aux trois dernières années et sur le nombre d’employés au cours des trois dernières années. Le processus de sélection final sera basé sur un ensemble de critères objectifs, y compris la preuve d’une croissance positive des revenus par rapport aux moyennes sectorielles et du marché.

Source de l'article l'Economiste maghrébin

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