Concours photo : «Mettez votre projet en image»


A l'occasion de la Journée de la coopération 2014 de l'UE, le 21 septembre prochain, le Centre d’information pour le voisinage européen, en coopération avec INTERACT ENPI, invite tous les projets financés par l'Union européenne et mis en œuvre dans la région du voisinage à soumettre leur meilleure photo décrivant comment leur projet fait la différence.
 
Les deux projets gagnants, un pour l'Est et l'autre pour le Sud, auront leur photo affichée à l’exposition photo du Centre d’information pour le voisinage européen «Visages du voisinage", à Bruxelles (Belgique) et / ou à Milan (Italie). Cette exposition va montrer le visage humain de la coopération de l'UE avec ses voisins du Sud et de l'Est, en illustrant les activités concrètes de la mise en œuvre d’une politique majeure des relations extérieures de l'UE.
 
Les gagnants du concours « Mettez votre projet en image » bénéficieront aussi d’une promotion du projet sur ​​le site internet, sur la liste de diffusion, et sur les plates-formes de médias sociaux du Centre d’information.
 
La date limite de soumission des photos est le 30 juin 2014. Les candidats doivent utiliser le formulaire de candidature en ligne.
 
Les votants auront jusqu'au 21 juillet 2014 pour choisir leurs photos préférées avec un «j’aime». Les cinq meilleures photos de l'Est et les cinq meilleures photos du Sud seront sélectionnées et publiées sur le mur Facebook du Centre d’information le 23 juillet 2014.

Pour plus d’informations : info@enpi-info.eu
 

Le projet MedMedia de l'UE crée un groupe consultatif des médias

Un groupe consultatif des médias a été mis en place dans le cadre du projet financé par l'UE MedMedia, dans le but d'optimiser l'engagement avec les principaux intervenants et de soutenir la réforme des médias dans la région sud de la Méditerranée.

Conçu pour faciliter l'échange d'expériences entre l'UE et les pays partenaires, le Groupe consultatif des médias comprend des représentants de l'UNESCO, de la Fédération internationale des journalistes (FIJ), de la Fédération des journalistes arabes (FAJ), de l'Union européenne de radiodiffusion (UER), de l'Union de radiodiffusion des Etats arabes (ASBU), de la COPEAM et de l'Union européenne (UE).

L'initiative vient dans le prolongement de la réunion inaugurale du projet en mai, tenue lors de la Journée mondiale de liberté de la presse de l'UNESCO à Paris, qui a rassemblé des délégués des organisations de journalistes, des diffuseurs, la communauté des donateurs, les agences d'exécution et des organisations de la société civile.

Med Media assistera les décideurs dans leurs efforts de réforme des cadres législatifs et réglementaires, tout en aidant les médias du service public à développer une programmation qui reflète mieux les intérêts et les préoccupations de leurs auditoires.

Le Groupe consultatif, qui se réunira périodiquement et sur ​​une base ad-hoc, donnera des conseils sur les grandes questions liées à la politique des médias et la réforme dans la région sud de la Méditerranée, en cherchant à maximiser la participation des parties prenantes nationales et à assurer la viabilité à long terme de l'initiative.

Med Média est mis en œuvre par un consortium dirigé par BBC Media Action et comprenant la Fédération internationale des journalistes, la Fédération des journalistes arabes, IREX Europe, l'Ecole de Communication Blanquerna et l'Institut des médias en Jordanie.

Financé dans le cadre de l'Instrument européen de voisinage, le projet sera exécuté sur une durée totale de 48 mois. Il fait partie du programme régional "Médias et culture pour le développement dans le sud de la Méditerranée" auquel il a été alloué un budget total de 17 millions d'euros sur une période de quatre ans, dont 9 millions d'euros est destinée à l'octroi de subventions sur la base d'un co-financement et 8 millions d'euros pour un mécanisme de renforcement des capacités au niveau des médias (Med media) et l'autre au niveau de la culture (Med culture). 

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EU Neighbourhood Info Centre – Culture et Média

Une jeune réalisatrice tunisienne lauréate du Prix du Public du concours de courts-métrages MADE in MED

La jeune tunisienne Doria Achour réalisatrice du court-métrage « Laisse-moi finir » a remporté le Prix du Public du concours de courts-métrages MADE in MED.

« MADE in MED » est un concours organisé par le programme Euromed Audiovisuel pour les jeunes cinéastes de la région sud-méditerranéenne. Cette année, 150 courts-métrages étaient en lice du 28 avril au 28 mai pour collecter les votes du public internaute.

Le prix du public remporté par la jeune réalisatrice tunisienne « consiste en une aide à la visibilité du court métrage sur le site Internet d’Euromed Audiovisuel et une aide à la participation à des festivals de films partenaires », lit-on sur le site de cette organisation.

« Laisse-moi finir » a réuni 370 votes d’internautes sur plus de 1.400 pour les 12 finalistes du concours. C’est l’histoire d’une jeune femme qui ne croit plus en l’engagement, qu’il soit amoureux ou politique dans un contexte de « schizophrénie post-révolutionnaire».

« J’ai voulu pointer cette schizophrénie post-révolutionnaire dans laquelle le pays a été profondément plongé, les discours convenus et « bien-pensant » des sociétés bourgeoises, la nouvelle forme et place qu’a pris la religion », commente Doria Achour, la jeune réalisatrice du court- métrage, qui travaille actuellement sur une nouvelle production.

Source de l'article Directinfo

«Azimut» d’Aurélien Bory, Théâtre du Rond-point des Champs-Elysées

C’est à Tanger qu’Aurélien Bory crée Taoub, en 2005, donnant ainsi naissance au Groupe Acrobatique de Tanger et à la première écriture contemporaine d’acrobatie marocaine. Il aborde le théâtre par le « renouvellement à la forme » et « en laissant de la place àl’imaginaire pour le spectateur »

Ses spectacles sont présentés dans le monde entier et font la joie de tous. Les applaudissements qu’ils déclenchent traduisent les émotions ressenties.


C’est aussi l’illustration de sa dernière création «Azimut», actuellement à l’affiche au Théâtre du Rond-point des Champs-Elysées à Paris, jusqu’au 29 juin 2014.

Pour lui, l’azimut est d’abord une mesure physique, les lois qui découlent de cet univers inspirent son travail. Il pousse l’investigation jusqu’à prendre au mot l’étymologie du mot quivient de l’arabe As’samt, signifiant le chemin. De là, à penser qu’Azimut emprunte et invente les chemins possibles, il n’y a qu’un pas …..

© photo Aglaé Bory
Des corps, des corps, des corps… 

Cela commence par un meddah- conteur, vêtu de la traditionnelle djellaba-manteau à capuche, qui joue de l’instrument à cordes pincées par excellence des gnawwas, le guenbri, distillant rythmes répétitifs et envoûtants. On l’imagine allant de villes en villes, de villages en villages pour informer de son passage, afin de divertir et de soigner les populations.

Ce qui frappe, ce sont les corps du groupe, des corps jeunes, pleins de vitalité, formés aux figures, des corps qui s’élancent, des corps qui en veulent, qui s’élancent de plus en plus vite avec leurs tee-shirts de toutes les couleurs. Et puis, on ne voit plus que la roue que font ces corps comme un parasol qui tourne, ou un derviche avec sa tanoura-jupe multicolore.

Il y a aussi les pyramides humaines, les acrobaties, le jeu du clair-obscur, ils se balancent dans le vide, ils sont foule, ils deviennent un seul corps, ils se fondent en un seul corps entre les jeux de voile en fond de scène, c’est la mer, c’est le vent, c’est le souffle humain….La présence de lignes médianes, bissectrices, carrés, rectangles, corps incrustés au mur dans des postures assises ou accroupies, ou fœtales, allongés au plafond comme en apesanteur, décollées par l’énergie de la lumière…

Et enfin ces chants magnifiques, chants arabes et berbères du fin fond de leur histoire, a capella comme la chanson de fin de l’une des deux filles qui commence par « Lbareh ounaya qualb hzin……hier j’étais triste, une étoile s’est penchée, où est ton sourire ?....» répété à l’envi comme une berceuse pour les grands enfants que nous sommes !

Le groupe acrobatique, formé à l’initiative de Sanae El Kamouni en 2003, est composé de 11 hommes et de 2 femmes. Il vient de Tanger ville baignée de la culture des zaouias et de leur maître spirituel issue d'une confrérie mystique où les gnawwas apprennent une multitude de choses, des prières, de la méditation, à jouer d’un instrument et à soulager par la musique tous les maux possibles.

La bande – son est aussi importante que la lumière qui jouent la partition de la douceur et de la bienveillance.

Aurélien Bory est artiste associé au Grand T, Théâtre de Loire-Atlantique à Nantes et artiste invité du TNT, Théâtre National de Toulouse Midi-Pyrénées.

Par Djalila Dechache - Source de l'article Babelmed

Euromed Jeunesse présente une publication sur le travail de jeunesse et le chômage des jeunes en Jordanie

Un rapport sur «le travail de jeunesse et le chômage des jeunes en Jordanie» a été publié par le projet Euromed Jeunesse financé par l'UE. Le rapport est le résultat d'une visite d'étude qui a eu lieu en Jordanie l'an dernier

Il est le quatrième d'une collection en plusieurs langues appelée «le travail de jeunesse en..» qui compte au total cinq publications consacrées au travail de jeunesse dans les pays  du voisinage Sud de l'Europe (Tunisie, Israël, Jordanie, Territoires palestiniens, Egypte) qui ont accueilli  les actions de jeunesse d'Euromed en 2013.
 
Cette publication fait suite à la première parution «Le travail de jeunesse en Tunisie après la révolution", publié l'été dernier, la seconde sur « Le travail de jeunesse et l'inclusion en Israël", et la troisième sur “le travail de jeunesse et les défis en Palestine”, disponible depuis le mois dernier. La cinquième parution concernera l’Egypte.
 
Le rapport contient :
 
• une vue d'ensemble sur le travail de jeunesse en Jordanie ;
• les aspects éducatifs et pédagogiques du travail de jeunesse en Jordanie ;
• certains défis rencontrés par les jeunes travailleurs dans le développement de projets pour faire face au chômage des jeunes en milieu urbain et rural;
• des exemples de projets de jeunesse et les meilleures pratiques pour faire face au chômage des jeunes dans le pays et soutenir l'insertion des jeunes dans le marché du travail.
 
Cette collection vise à soutenir la coopération dans la région Euro-Med afin de fournir une réflexion approfondie sur les enjeux et les défis actuels dans le travail de jeunesse dans le contexte euro-méditerranéen.
 
L’UE finance EuroMed Jeunesse IV, un programme régional doté d’un budget de 5 millions d’euros pour la période 2010-2013 qui se propose de stimuler et d’encourager la compréhension mutuelle entre les jeunes de la région euro-méditerranéenne, de lutter contre les stéréotypes et les préjugés et de promouvoir la solidarité en encourageant la citoyenneté active. Il entend également contribuer au développement des politiques de la jeunesse dans les pays méditerranéens partenaires. 
 
Pour en savoir plus
EuroMed Jeunesse IV – fiche et actualités
EuroMed Jeunesse IV – page internet
EU Neighbourhood Info Centre : Page internet – Jeunesse

Maroc:ouverture à Rabat du 10ème Congrès des Experts internationaux

Le 10ème Congrès des Experts internationaux a ouvert ses travaux, vendredi à Rabat, autour du thème "Leadership du Maroc dans les relations Sud-Sud et son rôle prépondérant dans le dialogue Nord-Sud".

Ouverture à Rabat du 10ème Congrès des Experts internationaux, une première en AfriqueCe congrès, qui va réunir trois jours durant des experts mondialement reconnus et de différentes disciplines pour "construire une communauté globale de compétences" dans un cadre de partage intellectuel et pluridisciplinaire, est organisé par l'Ordre des Experts internationaux de Genève et l'Institut supérieur des experts internationaux de Casablanca pour la première fois en Afrique.
Intervenant à l'ouverture du congrès, le président de l'Ordre des experts internationaux à Genève, Jacques Vialat, a souligné que ce rendez-vous permettra de débattre notamment de l'évolution de l'Ordre et des services rendus aux pays membres.
Lors de ce congrès international, des intervenants de renommée mondiale partageront leurs expériences en matière d'expertise internationale et débattront de différents thèmes dont "l'Union pour la Méditerranée (UpM)", "la relation expert-donneurs d'ordre, le rôle facilitateur de l'Ordre, les services aux membres de l'Ordre", "le plan solaire euro-méditerranéen", "la réhabilitation des médinas maghrébines", "le développement durable" et "urbanisation de l'Afrique: les besoins en formation dans les travaux publics".

Source de l'article Maghrebemergent

Soutien financier de l’UE à l’Autorité palestinienne : les ministres saluent le rapport de la Cour des comptes sur PEGASE


Réunis aujourd’hui en Conseil à Luxembourg, les ministres de l’UE ont salué le rapport de la Cour des comptes sur le soutien financier direct de l’UE à l’Autorité palestinienne par le biais du mécanisme PEGASE. 
Celui-ci a atteint selon eux l’objectif fixé, à savoir, contribuer de manière concrète à la préparation d’une solution à deux États, comme le prévoit le Processus de paix au Moyen-Orient de l’UE. 
 
Le Conseil a également salué la conclusion de la Cour des Comptes, qui estime que la Commission et les services du SEAE ont réussi à déployer une aide financière directe malgré le contexte difficile, que des procédures financières solides ont été mises en place et qu’aucun cas de corruption, de mauvaise gestion ou de détournement de fonds n’a été mis en évidence.  Les ministres ont toutefois pris bonne note de la conclusion de la Cour des comptes, à savoir la nécessité de revoir certains aspects de PEGASE afin de pérenniser ce mécanisme. 
 
Après examen des observations de la Cour, le Conseil a souligné l’importance de reconnaître le contexte politique complexe et difficile de la coopération de l’UE avec l’Autorité palestinienne, notamment l’occupation israélienne, le fait que l’AP n’a pas encore les compétences d’un gouvernement d’État et qu’une partie du territoire palestinien occupé – la bande de Gaza ­– est gérée par des autorités de facto avec lesquelles l’UE n’a pas de relations politiques. 
 
Prenant note des recommandations de la Cour, le Conseil a reconnu que la majorité desdites recommandations sont déjà en cours de mise en œuvre, saluant notamment les recommandations allant dans le sens d’un lien plus étroit entre le mécanisme PEGASE et le Plan d’action PEV AP-UE, adopté en 2013.
 
S’agissant du problème des fonctionnaires de Gaza, qui sont dans l’incapacité de travailler en raison de la situation politique, le Conseil a souligné qu’il était important, d’un point de vue politique, de continuer à soutenir la décision de l’Autorité palestinienne de poursuivre le paiement de ces travailleurs de la bande de Gaza. Il s’agit en effet d’un élément clé du maintien de la présence de l’AP à Gaza et de l’unité d’un futur État palestinien. 
 
S’agissant du principe de conditionnalité, le Conseil a pris note de la nécessité d’introduire les indicateurs de performance dans les domaines suggérés par la Cour, tout en gardant à l’esprit que de nombreux éléments requis pour les réaliser sont hors de contrôle de l’Autorité palestinienne, en tout ou en partie.   
 
Les ministres ont appelé l’AP à accélérer la réforme du service public, à mener à bien la réforme de la gestion des finances publiques et à poursuivre et à renforcer le dialogue avec l’UE et autres bailleurs de fonds au sein des groupes de travail sectoriels concernés. Ils ont aussi pris note du fait que, conformément à l’une des recommandations de la Cour, la Commission avait déjà commencé à apporter tout le soutien nécessaire à la réforme du service public de l’AP.  
 
Le Conseil a également reconnu que la Commission et les services du SEAE s’étaient activement employés à s’assurer de la coopération israélienne dans la mise en œuvre du soutien financier direct à l’AP et a appelé les autorités israéliennes à prendre les mesures nécessaires pour améliorer l’efficacité de l’assistance financière de l’UE. 
 
En savoir plus
Conclusions du Conseil sur l’aide financière de l’UE à l’Autorité palestinienne   
L’Union européenne et les Palestiniens – page Facebook
Action extérieure de l’UE – Palestine

Soutenir le développement des médias en Libye: un nouveau programme de l'UE est lancé à Tripoli



Un nouveau programme financé par l'UE pour aider les médias libyens à renforcer leur capacité de gestion et à améliorer leur production a été lancé le 11 Juin à Tripoli. Le Fonds Libyen de développement de contenu (LCDF) est géré par l’Institute for War and Peace Reporting (IWPR) dans le cadre d'un partenariat avec l'organisme allemand de développement des médias, Deutsche Welle Akademie.
Le programme porte sur le développement des médias en Libye, en termes d'amélioration de la qualité du contenu des médias et de la formation des professionnels des médias, en plus de soutenir la structuration administrative et financière des organisations de médias en les aidant à devenir viables.
«Nous croyons que des médias responsables, fournissant des informations et des faits avérés, permettront d'éviter que les programmes de désinformation ne gâchent les efforts de dialogue sur l'avenir de la Libye", a déclaré Seth Meixner, le Directeur de l’IWPR en Libye, à l'ouverture de l'événement qui a réuni plus de cinquante représentants des médias libyens et de la société civile.
Vingt-neuf subventions seront offertes sur deux ans dans le cadre du Fonds libyen  de développement de contenu (LCDF). Elles auront pour but de renforcer les capacités des médias en Libye au niveau des individus, des institutions et de la qualité des contenus, en particulier en ce qui concerne la phase de transition politique, la démocratie et la gouvernance, les droits de l'homme, le rôle des femmes dans la société, le processus constitutionnel et les droits des minorités.
Au cours de la cérémonie de lancement, Nabil Khoury, le directeur du programme, a fait un exposé détaillé sur le projet, ses objectifs, les types de subventions et les bénéficiaires potentiels ainsi que sur la qualité des programmes qui peuvent être mis en œuvre. Il a également expliqué les procédures de demande et les critères d'admissibilité.
«Les subventions sont destinées exclusivement à des organisations de médias et aux personnes travaillant au sein de ces institutions», a déclaré Khoury en soulignant qu'en vertu de ce programme, les médias ne feront pas seulement que de chercher et recevoir un soutien, mais ils seront impliqués dans la planification et l'utilisation des fonds qu'ils recevront ainsi que dans  le suivi des résultats obtenus
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EU Neighbourhood Info Centre – Libye
Délégation de l’UE en Lybie – site internet et page Facebook

Tunis : Low Carbon accroît sa participation dans le projet solaire TuNur

Low Carbon, l’investisseur britannique en énergies renouvelables, a augmenté sa participation dans le projet TuNur d'exportation de l'énergie solaire tunisienne vers l'Europe.

Le projet TuNur de Nur Energie comprend des usines produisant 2 GW d'énergie solaire à concentration et une ligne de courant sous-marin continu à haute tension sous-marin entre l'Afrique du Nord et l'Italie.

«En nous associant avec Nur Energie, nous pouvons à la fois accroître notre portée mondiale pour englober les développements cruciaux dans la région méditerranéenne tout en soutenant proposant une technologie éprouvée qui va générer de l'énergie renouvelable à l'échelle utilitaire qui sera déployée au Royaume-Uni et en Europe», a déclaré Roy Bedlow , PDG de Low Carbon.

Selon Nur Energie, la production serait suffisante pour alimenter 2,5 millions de foyers européens.

Source de l'article Africanmanager

«Meilleur article 2013-2014» - Le Prix de l'AMAN décerné à la MAP

Le Prix de l'Alliance des agences de presse méditerranéennes (AMAN) du meilleur article 2013-2014 a été décerné à l'agence Maghreb Arabe Presse (MAP) pour l'article de son journaliste Houcine Maimouni, intitulé «Quand les sucreries de Taroudant façonnaient les rapports de force dans le monde».

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Cérémonie de remise, à Alicante, sud-est de l’Espagne, du prix de l'AMAN, du meilleur article 2013-2014,
décerné à la MAP pour l’article du journaliste Houcine Maimouni. Ph : MAP 
Le Prix de l'AMAN pour la meilleure photo est revenu au photographe Nuno Ferreira (agence portugaise de presse «LUSA») pour sa photo sur l'incendie déclaré l'été dernier au centre du Portugal dans lequel quatre pompiers ont trouvé la mort.

Ces trophées ont été remis, mercredi, en marge de la 23e assemblée générale de l'AMAN qui se tiennent à Alicante (Sud-est de l'Espagne).

Plusieurs questions ont été à l'ordre du jour de la 23e réunion de l'AMAN, notamment la relation entre la communication et la diplomatie, le défi de l'immigration au 21e siècle et l'innovation des outils des médias.

L'idée de créer un organisme regroupant des agences de presse méditerranéennes avait été lancée lors d'un colloque international sur «La Méditerranée et la communication de demain» organisé par l'Agence Tunis Afrique Presse (TAP) en novembre 1991, à l'occasion de la célébration de son 30e anniversaire. 

Parmi les objectifs de l'AMAN figurent l'échange d'informations et le renforcement du dialogue, du développement et de la coopération entre les agences de presse méditerranéennes.

Source de l'article Le Matin

Six petits ports de plaisance à l’étude entre Tanger et Nador

L’Agence nationale des ports est en train de mener les études. Avec cinq sites identifiés, Nador et AlHoceima sont les principales provinces concernées en raison de leurs atouts balnéaires. L’aménagement des trois sites de Nador nécessiterait un budget de 870 MDH.
ports marocLe projet en est à ses balbutiements. L’Agence nationale des ports (ANP) vient de reprendre le flambeau de son ministère de tutelle pour mener les études nécessaires à la réalisation de six ports de plaisance dans la rive méditerranéenne. 
Les sites concernés, situés dans les provinces de Nador, Al Hoceima et Tanger, font partie d’une vingtaine de sites potentiels qu’avait définis préalablement le ministère de l’équipement et des transports sur les 3 500 km de côtes marocaines. «Les six sites objet de l’étude sont ceux qui avaient été définis comme prioritaires par le ministère», précise une source à l’ANP. Le travail consiste à évaluer l’attractivité des sites pour les investisseurs potentiels, et ce, en perspective du lancement par l’Agence des appels à manifestation d’intérêt (AMI) pour la concession de la réalisation, le financement et l’exploitation de ces projets. «L’objectif pour nous est d’approfondir les données dont nous disposons sur ces sites en vue de se prononcer sur les opportunités que pourraient offrir ces ports de plaisance pour les investisseurs potentiels», ajoute notre source.
En fait, de l’avis même du ministère de l’équipement, les activités de plaisance ne sont pas encore très développées au Maroc. Cependant, elles présentent un potentiel de croissance indéniable grâce notamment au développement des marinas prévues dans le cadre du Plan Azur. Pour profiter de ce potentiel, les autorités de tutelle envisagent d’impliquer fortement les partenaires privés, chacun dans son domaine de prédilection (investisseurs, exploitants…). Cela devrait donc commencer par les six sites prédéfinis pour abriter les ports de plaisance sur la côte méditerranéenne. Pour l’heure, aucune visibilité n’est donnée quant à la date de lancement des appels à manifestation d’intérêt permettant de sélectionner ces partenaires. Néanmoins, on sait d’ores et déjà que le développement de ces sites dépendra fortement des caractéristiques des régions où ils se trouvent et l’attrait qu’ils présenteront pour les investisseurs.$

L’Oriental recèle un potentiel important dans le domaine du tourisme balnéaire
Le premier constat de taille est que la région de l’Oriental est bien servie. Cinq des six projets à l’étude sont situés dans les provinces de Nador et Al Hoceima. Le point commun entre ces deux régions est qu’elles présentent un potentiel important dans le domaine du tourisme balnéaire. Avec la présence de beaucoup de plages, souvent connues uniquement par les habitants locaux, Nador et Al Hoceima sont des zones de premier choix pour le développement du tourisme de plaisance. Le sixième site est situé dans la région de Tanger. Cette dernière, où est déjà programmée la construction du plus grand port de plaisance de la Méditerranée (à l’emplacement de l’ancien port de la ville) affiche actuellement un besoin moins important en infrastructures du genre. C’est la raison qui pourrait expliquer que l’intérêt se porte davantage sur l’Oriental. Il faut néanmoins reconnaître que les sites identifiés dans cette région présentent bien des atouts.
Cala Charranes, l’un des trois sites de la province de Nador, est situé dans l’extrême Est du pays. Ce site est marqué par la présence d’une très large plage bordée de falaises en érosion. Il est déjà connu pour son attractivité auprès des habitants locaux, avec notamment la présence de logements touristiques sur le domaine public maritime. Le développement en son sein d’un port de plaisance semble déjà être particulièrement intéressant, à condition de résoudre les problèmes de liaison avec le réseau routier. En effet, selon les premières données répertoriées, l’accès au site est particulièrement difficile même s’il n’est éloigné de la route provinciale que de 3 km. Cette difficulté résulte de l’obligation d’emprunter une piste accidentée pour accéder à la plage. L’étude que mène l’ANP devrait donc réserver un intérêt particulier à l’analyse de cette problématique. Quant à Sidi Lahcen, deuxième site de cette province, il tire son intérêt de la présence d’une large plage au pied de colline. Ce site est déjà considéré comme un lieu de vie puisqu’il abrite plusieurs habitations et un petit village de pêcheurs. L’accès s’y fait par une piste moins difficile que celle menant à Cala Charranes. Un problème cependant, il fait partie d’une forêt. Une donne qu’il faudra particulièrement analyser vu que le développement d’un port de plaisance dans n’importe quel site nécessite la disponibilité d’un foncier «aménageable». D’ailleurs, c’est l’une des raisons qui poussent l’agence à consacrer, dans son étude, tout un volet à l’analyse des différents schémas directeurs et des documents d’aménagement des régions visées pour l’implantation des nouvelles infrastructures.

Les sites d’Al Hoceima sont faciles d’accès mais restent exposés à la houle
Le troisième site -appelé A7- identifié dans la province de Nador se situe à mi-chemin entre cette ville et Al Hoceima. A priori, il présente moins de soucis que les deux premiers, si ce n’est qu’il est situé sur une plage, là encore au pied d’une falaise en érosion. L’accès y est facile par route mais nécessite tout de même l’aménagement d’un accès spécifique pour descendre à la plage. S’il est retenu, le coût de l’investissement prévisionnel, 210 MDH, pourrait s’avérer moins lourd que pour les deux premiers sites de la province qui nécessiteraient près de 330 millions chacun. Soit un budget total de 870 MDH.
Pour les sites d’Al Hoceima, c’est surtout l’exposition à la houle qui devrait être contraignante. Les deux sites repérés, Issly et Tala Youssef, sont particulièrement exposés. Toutefois, les voies d’accès existent vu que les plages sont fréquentées par les estivants.


Par Younès Tantaoui - Source de l'article  La Vie éco

Maroc: le 94è Festival des cerises de Sefrou, du 19 au 22 juin

Initiée par le conseil provincial et l'Association "Hab Lamlouk" en collaboration avec d'autres partenaires locaux, cette manifestation sera ouverte par la fameuse cérémonie de retraite aux flambeaux et aux fanfares. 

Maroc: le 94è Festival des cerises de Sefrou, du 19 au 22 juinElle propose, comme à l'accoutumée, un large éventail d'activités culturelles, artistiques et musicales, outre des conférences thématiques animées par d'éminents chercheurs et universitaires. 

Considéré comme le doyen des festivals du Royaume, ce rendez-vous annuel sera marqué par la cérémonie du couronnement de +Miss Cerisette+ 2014, sur fond de spectacles de rues et de concerts musicaux. 

Le programme du festival comprend aussi de nombreux concerts de chanteurs populaires et de groupes folkloriques, des spectacles de fantasia, des expositions d'arts plastiques et des rencontres culturelles et soirées artistiques pour le grand bonheur des mélomanes et des visiteurs de la ville. 

Il prévoit également une multitude d'activités sportives, dont des tournois de football et un autre de tir aux pigeons et des activités récréatives pour enfants, outre des campagnes de propreté et des actions environnementales. 

Cet évènement culturel de quatre jours, devenu au fil des années un rendez-vous incontournable, comprend de même des espaces dédiés aux coopératives de la région pour commercialiser leurs produits locaux en vue d'encourager l'économie sociale et solidaire et consolider leur position sur le marché national. 

Le festival des cerises de Sefrou est le cinquième patrimoine culturel marocain inscrit sur la liste représentative de l'Unesco, après l'espace culturel de la place Jemaa el-Fna de Marrakech, le Moussem de Tan-Tan, la diète méditerranéenne, et +la fauconnerie, un patrimoine humain vivant.
Source de l'article Atlasinfo

Le câprier, un arbuste aux multiples bienfaits

Le câprier (Capparis spinosa), « al-koubbar » en arabe, est une espèce méditerranéenne qui pousse à l'état sauvage au Liban. Le mot grec « capparis » signifie grignoter et « spinosa » épineux.

Le câprier est un arbrisseau très robuste qui pousse facilement dans tout type de sol. Au Liban, on le trouve souvent entre les murailles et les fissures murales. Et pour cause, puisque le câprier s'adapte facilement aux sols pauvres et résiste aux chaleurs et à l'ensoleillement. D'ailleurs c'est l'une des plantes qui ont été proposées comme une alternative à la culture du chanvre (cannabis) au Liban.
Le câprier pousse à l'état sauvage. Néanmoins, il est cultivé dans de nombreux pays pour ses boutons floraux (fleurs avant floraison), les câpres. Celles-ci sont cueillies lorsqu'elles atteignent la taille d'un petit pois. Elles sont consommées confites dans du vinaigre.
Plus une câpre est petite, plus sa saveur est délicate et plus elle est chère et prisée. Dans le commerce, les câpres sont répertoriées selon les calibres suivants : non pareille (jusqu'à 7 mm de diamètre), surfine (7 à 8 mm), capucine (8 à 9 mm), capote (9 à 11 mm), fine (11 à 12 mm) et hors calibre (supérieur à 12 mm).
Les câpres sont récoltées tous les deux à trois jours. Puisqu'elles perdent tout leur arôme en séchant, elles sont conservées dans du vinaigre quelques heures après leur cueillette.
Sur le plan culinaire, les câpres sont surtout prisées pour leur goût aigrelet que leur profère la capparidine, un alcaloïde. Les câpres servent à relever les mayonnaises, les salades et les sauces. Confites, elles accompagnent parfaitement le saumon. Les câpres sont également utilisées en tapenade pour accompagner quelques poissons. Elles constituent également l'un des principaux ingrédients de la sauce tartare.
Lorsque les boutons du câprier atteignent leur maturité, ils donnent un fruit, le capron. Également appelé pomme de câpres, il est confit dans le vinaigre et consommé au même titre qu'un cornichon.
Bien que les boutons floraux du câprier sont utilisés pour stimuler l'appétit, c'est surtout la racine de cette plante qui est utilisée dans la médecine traditionnelle, en infusion ou en décoction, en guise d'apéritif, mais aussi comme un diurétique ou encore pour lutter contre l'arthrite et le rhumatisme.
Plusieurs études ont en outre montré qu'une infusion de racines du câprier aide à soulager les
constipations.
Les feuilles de cette plante sont aussi prescrites contre les piqûres d'insectes. Il suffit de les frotter sur la zone affectée.

 Cette rubrique aborde les bénéfices thérapeutiques d'une plante du Liban, qui ne remplace en aucun lieu un traitement médical. Elle est réalisée en collaboration avec Marc Beyrouthy, chef du département des sciences agronomiques à la faculté des sciences agronomiques et alimentaires de l'USEK.
Site Web : www.marcbeyrouthy.com ; Twitter : @MarcBeyrouthy
Source de l'article l'Orient le Jour

Projet ClusMed : Réunion cruciale à Casablanca

Maroc Numeric Cluster a reçu, dernièrement, au Technopark de Casablanca une délégation de 11 partenaires représentant différents pays d'Europe et de la Méditerranée dans le cadre du projet ClusMed. 

Ce projet a pour but la mise en place d'un dialogue entre les pays européens et méditerranéens sur les questions de réglementation dans le secteur des technologies de l'information (TIC), comme l'un des facteurs clés du développement durable. 
Pour rappel, le projet ClusMed issu du programme européen FP7 a été lancé en janvier dernier pour une durée de 2 ans. Il vise à mettre en oeuvre la recherche coopérative dans le secteur des TIC à travers l'identification, l'analyse et le benchmarking des réglementations nationales des TIC. 
Et lors des workshops de Casablanca, il a été procédé à une évaluation puis à une comparaison des cadres réglementaires en matière de TIC dans le but d'identifier et de partager les meilleures pratiques. Les réglementations des pays méditerranéens ont ainsi été comparées entre elles mais aussi aux normes réglementaires de l'UE, de même que confrontées à d'autres expériences.
Source de l'article InfoMaroc

The World Processing Tomato Congress

“This appointment, which is included in the preparatory path for the Universal Exposition of Milan 2015, is important to begin a discussion on a fundamental sector for our Country”. It's in the words of the Ministry for Agricultural Policies, Maurizio Martina, who spoke during the opening ceremony, the distinctive trait of the four days long World Processing Tomato Congress held in Sirmione.

The event saw 550 operators coming from all over the world debating on the future challenges that the sector will have to face: the integration and aggregaton of the chain of tomatoes destined to the processing industry and of the production realities to guarantee a more and more higher competitivity of the sector, quality and traceability, keeping in mind the tutelage of the final consumer.

And these are the topics to which must be added the need for education of the final consumer, that were shared on the occasion of the round table that closed the congress and that saw big players of the mass retailing and industry confront each other: Tesco, Coop Italia, ICA, La Doria, Mutti and Conserve Italia. “British consumers – affirms Tesco's Mark Subbady – have forgotten how to cook, in fact, leading the chart of favourite meals (in second place) are sandwiches. In Great Britain, product innovation has often been a synonym of making life easier for consumers, but without eduucating him. In this sense, along with a known Italian past producer, we have decided to tell kids in elementary schools, through videos, the agro food chain”.

Instead, it goes through the proposal of an ad hoc food plan, home delivery, the form of education undertaken by the Swedish ICA which sends to those who have bought the plan not only products but also strictly healthy recipes. To eat better, knowing the products better. This seems to be the mantra that Coop Italia wants to teach the Italian consumer which is still too often guided, in the choice of products, by prices and promotions. “In this sense – affirms Anna Maria Fabbri of Coop Italia – there will be a big effort made through communication in Coop stores, even with informative panels”.

Ended the works in Sirmione, the “Post Congress Tour” started in the afternoon, with articulated program of visits to production places, farms and research institutes that valorize the activities of the territory in the chain, organized in collaboration with the Region of Emilia Romagna. Amongst the main stops there was the Cooperativa CO.PAD.OR, always careful to valorize the raw material tomato. Today, the cooperative counts almost 130 farms as members which cultivate every year up to 4.000 ha, employing the most modern cultivation techniques, always in compliance of the precedural guideline of Integrated Production of the Emilia Romagna Region and of the international protocol Global-Gap.

“About 300.000 tons of fresh tomatoes are processed every year in puree, pulps, cubes, concentrated and sauces. All thanks to modern implants with a daily production capacity of almost 6.000 tons of tomatoes and in perspective of an ongoing quality research – affirms Thierry Babbini, CEO of CO.PAD.OR”. Already certified as UNI EN ISO 9001, ISO 14.001, BRC, IFS, KOSHER, the Cooperative has in fact adhered to the European standard EMAS, extending to its members its own system of traceability ISO 22005 and the Global-Gap protocol for the whole raw material.

“Our certifications – continues Babbini – aim at protecting the health of the consumer, of workers. Respect for the environment, the attention to the territory, are fundamental values for our cooperative that represents the perfect union between Italian food tradition and the most modern industrial technologies”.

The World Processing Tomato Congress was organized by AMITOM – Association Méditerranéenne internationale de la Tomate, by the World Processing Tomato Council, by ISHS, the world's most important organization of fruit and vegetables sciences which operates in 50 countries, and by Fiere di Parma.

Source de l'article GreenMedJournal

Libyablog, soutenu par l’UE, classé second du Prix du public dans la catégorie Arabe pour les Bobs de la Deutsche Welle



Avec 429 voix, Libyablog, une initiative de blog financée par UE, s’est classé en seconde place du prix du public dans la catégorie Arabe aux Bobs de la Deutsche Welle, suite au vote en ligne du public.
Libyablog est une communauté de blogueurs libyenne. Elle est coordonnée par les Observateurs et l'Atelier des Médias RFI, avec le support de l'Union européenne. Pendant la première phase, qui a duré dix-huit mois (juillet 2012-décembre 2013), plusieurs sessions de formation sur les outils de journalisme et de blogging ont été dispensées aux blogueurs participants.
Dans sa seconde phase, la plateforme atteindra sa pleine autonomie en étant produite et éditée par les bloggers.
Les Bobs sont accordés à des sites internet et des projets qui promeuvent l'échange ouvert d'idées et la liberté d'expression. Quand les récompenses annuelles ont été lancées en 2004, les blogs commençaient juste à s'établir comme un nouveau type de médias et les Bobs ont œuvré à montrer que cette nouvelle forme de communication était digne d'être prise au sérieux et ont souligné le travail exemplaire étant réalisé en ligne pour favoriser le dialogue au-delà des barrières linguistiques.
En savoir plus
Site internet :Libyablog
Reportage de l’EU Neighbourhood Info Centre– LibyaBlog, la parole aux jeunes